samedi 23 juin 2007

Les retraités Off Shore de la SNCF


Comment de la révélation d'un fait scandaleux et anodin on peut imaginer qu'il est le fruit de la manipulation du pouvoir?

Nicolas le petit

Trop fort le Nicolas......

D'abord il reglemente le droit de grève et l'assortit du service mini nottament à la sncf

Le Monde.fr : La SNCF en première ligne: "La SNCF en première ligne LEMONDE.FR : Article publié le 31.05.07

... en prévenant d'avance que les jours grevés ne seront pas payés.....

Puis, comme par miracle, quelques semaine avant le débat sur la réforme du régime des retraites.... Surgit une polémique ( fort justifiée ceci dit) sur les missions de formateur de luxe des retraités SNCF....Employés dans des paradis fiscaux... La il met l'opinion publique de son coté. et bien sur il ne manque pas d'égratigner les privilèges de quelques uns... etc...




Il fait passer ses réformes et évite de se retrouver comme juppé en 95 ou le privé soutenait le public....Rappelons que l'opinion publique le suit forcément du fait de son retournement en point 2/

Les fonctionnaires sont dans la rue... nottament la ratp et la sncf... mais le pays n'est pas bloqué, les hors la loi sont traduits en justice....

IL est encore plus populaire et il en profite pour s'attaquer aux enseignants.....

Vraiment trop fort..... Demain il offrira sa personne à la france et demandera les pleins pouvoirs.... nous les lui offrirons en applaudissant et l'élirons Empereur.... mais pas Niclas 1 c'est déja pris.....

Trop tordu comme raisonnement ?

Qui croit encore que notre empereur n'y est pour rien dans la manipulation de clearstream qui au final le fait passer pour une malheureuse victime ???


Le Monde.fr : Protestations après des perquisitions au « Canard enchaîné » et chez l'avocat de M. Sarkozy

EUX JUGES ont perquisitionné vendredi 11 mai le cabinet de l'avocat de Nicolas Sarkozy, Thierry Herzog, et les locaux du Canard enchaîné dans le cadre d'une enquête pour violation du secret de l'instruction dans l'affaire Clearstream. Les journalistes ont refusé de faciliter l'entrée du juge Thomas Cassuto dans les locaux de la rédaction fermés à clé. Le juge cherchait les procès-verbaux de l'audition du général Rondot, utilisés par l'hebdomadaire pour un article du 10 mai 2006 évoquant un compte bancaire de Jacques Chirac au Japon. Il a pu néanmoins faire des vérifications sur un fax.

Dans les bureaux de Me Herzog, la juge Françoise Desset a également examiné le fax pour savoir si des informations auraient pu être émises vers Le Canard enchaîné. Une réquisition auprès d'un opérateur téléphonique a permis aux juges de trouver la trace d'un échange de fax de 52 secondes entre le cabinet de Me Herzog et l'hebdomadaire, le 8 mai 2006. Selon l'avocat, le Canard enchaîné l'avait sollicité par fax pour obtenir une réaction de Nicolas Sarkozy, à la veille de son audition comme partie civile. Me Herzog assure n'avoir pris connaissance du dossier que le 4 mai 2006, pour préparer l'audition, le 9 mai, de Nicolas Sarkozy. Il n'a obtenu copie des procès-verbaux que le mois suivant. Thierry Herzog dénonce « une entreprise de déstabilisation » : « On cherche à jeter le discrédit sur Nicolas Sarkozy et on veut distiller le soupçon ». L'enquête pour violation du secret de l'instruction a été ouverte le 11 mai 2006 par le parquet de Paris, à la demande du ministre de la justice, Pascal Clément. Elle visait la publication des 18 articles de presse. Plusieurs journalistes ont été entendus par les magistrats.

« Nous avons dit au juge que cette perquisition était en violation avec la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme », explique le journaliste du Canard enchaîné, Louis-Marie Horeau. Dans un arrêt du 15 octobre 2003, la Cour européenne « juge que des perquisitions ayant pour objet de découvrir la source d'information des journalistes constituent un acte encore plus grave qu'une sommation de divulgation de l'identité de la source ». La tentative de perquisition a été dénoncée par de nombreux organismes professionnels, de Reporters sans frontières à la Fédération nationale de la presse française. Plusieurs perquisitions ont eu lieu depuis 2005 notamment au Poin t, à L'Equipe, au Parisien, à Nice-Matin, ou au Midi libre.



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